Dans sa décision n° 107/ 2024/ARCOP/CRD/DEF du 2 octobre 2024, l'autorité de régulation de la commande publique (ARCOP) a décidé à titre conservatoire de suspendre l'exécution du marché attribué à AEE Power EPC pour l'électrification rurale des régions de Kaffrine, Saint-Louis, Kédougou, Louga et Tambacounda.
L’ARCOP, constatant que ASER n’a toujours pas envoyé les dossiers du marché réclamés par le CRD pour statuer au fond et rendre une décision conforme à la réglementation, a pris cette décision qui, selon le chroniqueur de l’émission Jakaarlo Bi sur la TFM, est logique compte tenu « d’un manque de clarté dans cette affaire ».
Badara Gadiaga rappelle d’abord qu’il faut déjà connaître comment marche l’autorité de régulation de la commande publique (ARCOP). « Si l’on accuse l’autorité estimant qu’elle s’est basée sur du faux, c’est extrêmement dangereux. Dans sa composition, elle est tripartite et paritaire. L’État désigne trois personnes. L’une venant de la présidence, la deuxième de la justice et une troisième, du ministère des finances. Le secteur privé national sera aussi de la partie ( CNES, MEDS et le CNP). De même, la Société civile y est représentée. Si les neuf membres sont bien représentés, alors il est désigné un comité de règlement des différends (CDR). C’est archi-faux de dire que c’est Saër Niang qui unilatéralement prend une décision. Si l’on estime que dans cette affaire dite ASER, l’Arcop s’est basée sur du faux, alors le représentant de la présidence même est impliqué, fera savoir le chroniqueur.
En effet, l’Arcop a fait savoir qu’elle a constaté que la banque partenaire SANTANDER a émis des transferts d’argent de 37 milliards comme avance de démarrage alors que les travaux n’ont pas encore débuté, ajoute-t-il. « Où sont passés les fonds ? Pourquoi l’ASER n’a-t-elle pas encore délivré les documents à l’ARCOP alors que des militants détiennent des exemplaires ? S’interroge Badara Gadiaga. Pourquoi l’ASER permet à Sadikh Top (membre de Pastef et invité de l’émission Jakaarlo Bi), de détenir un document que l’autorité de régulation de la commande publique ne détient pas alors qu’elle a demandé les documents ? C’est extrêmement grave ce qui se passe dans ce pays. La reddition des comptes de la main droite, mais une bonne gouvernance aussi de la main gauche, », a dénoncé Badara Gadiaga tout en précisant que le plus grave est qu’on se rend compte qu’on démet un directeur général de l’ARCOP sans passer par l’appel à candidature prévu par l’article 23 de la commande publique, regrette le chroniqueur scandalisé…
L’ARCOP, constatant que ASER n’a toujours pas envoyé les dossiers du marché réclamés par le CRD pour statuer au fond et rendre une décision conforme à la réglementation, a pris cette décision qui, selon le chroniqueur de l’émission Jakaarlo Bi sur la TFM, est logique compte tenu « d’un manque de clarté dans cette affaire ».
Badara Gadiaga rappelle d’abord qu’il faut déjà connaître comment marche l’autorité de régulation de la commande publique (ARCOP). « Si l’on accuse l’autorité estimant qu’elle s’est basée sur du faux, c’est extrêmement dangereux. Dans sa composition, elle est tripartite et paritaire. L’État désigne trois personnes. L’une venant de la présidence, la deuxième de la justice et une troisième, du ministère des finances. Le secteur privé national sera aussi de la partie ( CNES, MEDS et le CNP). De même, la Société civile y est représentée. Si les neuf membres sont bien représentés, alors il est désigné un comité de règlement des différends (CDR). C’est archi-faux de dire que c’est Saër Niang qui unilatéralement prend une décision. Si l’on estime que dans cette affaire dite ASER, l’Arcop s’est basée sur du faux, alors le représentant de la présidence même est impliqué, fera savoir le chroniqueur.
En effet, l’Arcop a fait savoir qu’elle a constaté que la banque partenaire SANTANDER a émis des transferts d’argent de 37 milliards comme avance de démarrage alors que les travaux n’ont pas encore débuté, ajoute-t-il. « Où sont passés les fonds ? Pourquoi l’ASER n’a-t-elle pas encore délivré les documents à l’ARCOP alors que des militants détiennent des exemplaires ? S’interroge Badara Gadiaga. Pourquoi l’ASER permet à Sadikh Top (membre de Pastef et invité de l’émission Jakaarlo Bi), de détenir un document que l’autorité de régulation de la commande publique ne détient pas alors qu’elle a demandé les documents ? C’est extrêmement grave ce qui se passe dans ce pays. La reddition des comptes de la main droite, mais une bonne gouvernance aussi de la main gauche, », a dénoncé Badara Gadiaga tout en précisant que le plus grave est qu’on se rend compte qu’on démet un directeur général de l’ARCOP sans passer par l’appel à candidature prévu par l’article 23 de la commande publique, regrette le chroniqueur scandalisé…
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